Je suis heureux de vous parler de ce projet un peu fou qu’est Anderlues 20/20. J’ai réfléchi longuement avant de me lancer dans cette aventure qui me tient particulièrement à coeur, porté par l’envie de voir revivre ma région. D’Aucun, sans doute, aurait déjà abandonné depuis longtemps, en butte aux difficultés rencontrées et aux coûts élevés qu’entraîne la réalisation d’un tel projet… mais je suis un entrepreneur , entreprendre est ma vocation, c’est-à -dire construire et créer. Ce terrain, comme vous le savez, est sévèrement pollué à certains endroits et demande une dépollution assez onéreuse. Plusieurs investisseurs, et non des moindres, se sont déjà présentés à ma porte afin de participer à ce projet exceptionnel dans sa conception futuriste. En devenant créateurs d’emplois et producteurs d’énergies propres pour notre région, ils ont compris que leurs intérêts devaient aujourd’hui obligatoirement être associés aux vôtres. Dans cette optique, je n’exclus d’ailleurs pas de demander à la population concernée par le renouveau d’Anderlues de devenir actionnaires à part entière de ce projet. Investir dans Anderlues 20/20 est surtout avoir un regard sur le futur, les énergies renouvelables sont le challenge de demain. L’énergie reste une nécessité absolue et c’est pour cela que j’ai décidé de créer une centrale photovoltaïque d’un nouveau genre, une centrale participative, ouverte à tous. Une partie de ce terrain sera aussi affectée à des activités écologiques : bâtiments dédiés à la recherche énergétique, activités culturelles etc.. et enfin une grande partie du terril sera affectée en vignoble. Le projet Anderlues 20/20 est une vitrine ouverte sur l’Europe et donnera sûrement à la Wallonie le renouveau dont elle a vraiment besoin.
EN 2002 LA COKERIE CESSAIT DÉFINITIVEMENT SES ACTIVITÉS INDUSTRIELLES. LA FIN D’UNE HISTOIRE et LE DÉBUT D’UNE AUTRE…
Une rumeur se met à circuler parlant de « la construction de 200 appartements clapiers; le propriétaire ayant fait une demande de deux cent compteurs à eau à la commune » (!)… Ce qui est totalement faux et infondé. Mais s’appuyant sur cette rumeur, la justice intervient manu-militari, interdit tous travaux et bloque le chantier. La presse relaie l’information fournie par le parquet… mais rien n’est fondé.
Cette intervention de la justice n’a servi qu’à faire suspendre les démarches du propriétaire pour assainir le site.
La SPAQUE, se comportant en seigneur et maître, investit les lieux et procède aux études de sol. Une véritable intrusion faite sans l’accord du propriétaire et sans l’accord officiel du Gouvernement.
«ABERRANT ! CONTRAIREMENT A CE QUE RACONTE L’ARTICLE CI CONTRE, JE N’AI PAS ÉTÉ CONDAMNÉ. NI MA FEMME… NI MA FILLE… IL VA SANS DIRE QUE CES ARTICLES ET COMPTE-RENDUS INEXACTS TERNISSENT MON IMAGE ET FAUSSENT L’OPINION PUBLIQUE A MON ÉGART»
« j’ai très vite compris que mon terrain était convoité par la région wallonne et la commune d’Anderlues et qu’elles allaient tout faire pour se l’approprier. Comme vous allez le lire, elles ont tenté, par la force et la justice, de m’éjecter. Ne pouvant que constater l’échec de leurs manœuvres elles ont fini par me proposer de l’argent. Là aussi sans succès. Elles n’ont plus d’autres recours ,aujourd’hui, que de lancer une nouvelle procédure d’expropriation. JE NE DEMANDE QU’UNE CHOSE: QU’ON M’AUTORISE A DÉVELOPPER MON PROJET dans le respect des lois et des contraintes liées à ce type de site »
« IL N’Y A PRATIQUEMENT QUE DES ALLÉGATIONS DANS LE REPORTAGE DE LA R.T.B.F. LA SEULE CHOSE VRAIE ET VÉRIFIÉE EST QUE MES MACHINES ONT ÉTÉ SAISIES ET QUE 3 SOCIÉTÉS ONT ÉTÉ FERMÉES. JE N’AI JAMAIS ÉTÉ CONDAMNÉ POUR AUCUN DES FAITS QUI ME SONT REPROCHÉS DANS LE REPORTAGE, NI INDEMNISÉ D’AUCUNE MANIÈRE POUR LES PRÉJUDICES SUBIS »
EN JUILLET 2007 LA COMMUNE D’ANDERLUES SE COMPORTE COMME LA PROPRIÉTAIRE DU SITE…
Extrait du conseil communal du mois de juillet 2007
Sur le 11e objet à l’ordre du jour : Ancien site des Cokeries d’Anderlues : Proposition d’affectation – Décision de principe
De se prononcer sur le principe de proposer à l’IDEA, Intercommunale pour le développement économique et l’aménagement, la création d’une zone industrielle et/ou zone d’activités économiques ainsi qu’une zone consacrée à la production d’énergie verte, dans le cadre du développement durable, sur l’ancien site des Cokeries d’Anderlues, entre la rue de la Résistance et la rue du Viernoy.
(ordre du jour du conseil communal: conseil_communal_5juillet2007 )
… ALORS QUE JE NE SUIS AVERTI QU’EN SEPTEMBRE 2007 D’UNE PROCÉDURE VISANT À M’EXPROPRIER !
Considérant que le terrain est laissé à l’abandon (sic) (ndlr: Et pour cause, la justice lui a interdit toute activité sur le site) le Gouvernement entame une procédure d’expropriation. Maître Mayence, avocat de Biagio Carà, va défendre sa cause au Conseil d’Etat et gagner le procès. (cliquez ci-dessous pour agrandir l’arrêté d’expropriation)
« EN 2009, CROYANT EN MON EXPROPRIATION CERTAINE, LE BOURGMESTRE DONNE UNE INTERVIEW SUR LE SITE ET REPREND, À SON COMPTE, MOT POUR MOT ET SANS VERGOGNE, LE PROJET QUE JE LUI AI EXPOSÉ QUELQUES MOIS PLUS TÔT. IL EST ON NE PEUT PLUS CLAIR SUR LA VÉNALITÉ DE SES MOTIVATIONS, PARLANT D’OPÉRATION TRÈS JUTEUSE POUR LA COMMUNE (SIC) » HEUREUSEMENT, J’AI CONSERVÉ UNE COPIE DE L’ARTICLE… IL A ÉTÉ SUPPRIMÉ D’INTERNET… »
« A L’ORIGINE PERSONNE NE VOULAIT ACQUÉRIR LE TERRAIN. S’ILS ONT CHANGÉ D’AVIS C’EST PARCE QU’ILS PEUVENT AUJOURD’HUI SE GOINFRER DE SUBSIDES EUROPEENS… CE N’ETAIT PAS LE CAS QUAND JE SUIS DEVENU PROPRIETAIRE »
Extrait d’un article SUDPRESSE du 30/12/15.
Article connexe: LA SPAQUE EN EAU TROUBLE – LB) .
« MON STATUT DE PROPRIÉTAIRE ENTÉRINÉ PAR LE JUGEMENT, JE RÉITÈRE MES INTENTIONS ET CONFIRME MA VOLONTÉ DE RÉHABILITER LE SITE. JE PEUX ENFIN POURSUIVRE ET RÉPONDRE A MES OBLIGATIONS: J’ENTAME AVEC SITEREM LA RÉDACTION DU R.I.E. IL FAUT SAVOIR QUE RIEN N’OBLIGE LE PROPRIÉTAIRE D’UN SITE POLLUÉ A FAIRE APPEL A LA SPAQUE POUR EN RÉALISER LA CLASSIFICATION. EN BON GESTIONNAIRE, JE CHOISI LE MEILLEUR RAPPORT QUALITÉ PRIX. JE N’AI PAR AILLEURS JAMAIS ACCEPTÉ ET ENCORE MOINS COMPRIS POURQUOI ON M’AVAIT IMPOSÉ, DE FAIT ET DÉS 2006 LA PRÉSENCE DE LA SPAQUE SUR LE TERRAIN»
« Manoeuvrant toujours à l’acquisition du terrain, la SPAQUE m’annonce, en 2012, un coût pour la dépollution de 9.248.684 € et me fait une offre de rachat à 230.694 €. Je refuse l’offre, que je juge inappropriée. Dans ces conditions je préfère conserver mon bien, procéder à la dépollution et y développer mes projets »
« EN 2013, TEL QUE LA LOI ME L’IMPOSE, LA DGO4 REÇOIT MON RAPPORT D’INCIDENCE ENVIRONNEMENTALE… LE RAPPORT VA RESTER LETTRE MORTE PENDANT 5 ANS ! »
« LES COÛTS DE DEPOLLUTION ET DE L’AMÉNAGEMENT ? JE PEUX Y FAIRE FACE, JE NE SUIS PAS SEUL ! DEPUIS 2006 JE RASSEMBLE DES FONDS PRIVÉS D’INVESTISSEMENT AUTOUR DU PROJET. »
«J’AVAIS l’autorisation de la commune pour niveler le sol sur 10 hectares (parcelle cadastrée B 158 S). Pour ce faire, je signe un accord avec la société Wanty pour déposer les terres du chantier de « Rive gauche », terres conformes aux normes et critères de la région WALLONNE.( les certificats de conformité me devant être fournis ).
L’arrivée massive de camions chargés de terre (30 tonnes toutes les 5 minutes) m’oblige, dans un premier temps, à stocker les terres sur une zone de 3 hectares. Il n’est pas difficile de comprendre que le niveau du sol est forcément pus élevé qu’étendu sur une superficie de 10 hectares !
Mais c’est bien cette hauteur ,temporaire, je le rappelLE, qui motivera l’intervention de la région WALLONNE pour faire stopper de nouveau l’avancée des travaux.
L’INFRACTION ENVIRONNEMENTALE DONT PARLE L’ARTICLE EST L’AUGMENTATION DU NIVEAU DU SOL DE PLUS DE 50 CM….
Une fois de plus la presse et les médias me condamnent sans avoir tous les éléments en main.»
Les scellés, apposés par le parquet de Charleroi sur une partie du chantier «Rive Gauche», n’ont pas encore été levés. Le juge d’instruction a quant à lui placé sous mandat d’arrêt le propriétaire des cokeries d’Anderlues, pour diverses infractions environnementales.
Le parquet de Charleroi et la police de l’environnement sont descendus sur la place Albert Ier à Charleroi, hier mardi matin, où s’effectuent actuellement les excavations du chantier «Rive Gauche». A la suite d’une courte enquête, il est apparu que les gravats et autres déchets pierreux étaient évacués vers les anciennes cokeries d’Anderlues, un site qui ne disposerait pas des autorisations nécessaires pour l’entreposage de ces déchets. En 2006, le parquet avait déjà entamé des poursuites à l’encontre de son propriétaire, Cara Biaggio, pour diverses infractions environnementales. La procédure pénale s’est d’ailleurs conclue cette année par une déclaration de culpabilité.
Ce mardi, le premier substitut Daniel Marlière a apposé les scellés sur le site en attendant que la firme Wanty, en charge du terrassement, trouve une autre filière d’évacuation des déchets. L’entreprise, elle, affirme qu’elle n’était pas au courant que son sous-traitant ne disposait pas des autorisations nécessaires.
Entendu par le juge d’instruction hier mardi soir, le propriétaire des cokeries d’Anderlues a été placé sous mandat d’arrêt pour diverses infractions environnementales, comme l’indique Sudpresse. Son avocat, Me Jean-Philippe Mayence, affirme que son client nie les faits. Il espère une mainlevée avant sa comparution jeudi en chambre du conseil.
« LE BOURGMESTRE DE LA COMMUNE D’ANDERLUES, MANOEUVRÉ EN COULISSE PAR LA SPAQUE ME PROPOSE 500.000 € EN ECHANGE DU TERRAIN. POUSSÉ A SE DÉFENDRE FACE A L’OPPOSITION QUI TROUVE LA SOMME EXCESSIVE (!) LE BOURGMESTRE DÉVOILERA DANS UNE INTERVIEW QU’UN ACCORD EXISTE DEJA AVEC LA REGION POUR QUE CELLE-CI RACHETE LE BIEN A LA COMMUNE…»
La DGO4 réagit au RIE déposé en… 2013 et le déclare obsolète. La mise au placard du dossier (une procédure normale de traitement de dossier prend 2 mois) est sans aucun doute liée à la volonté de décourager le propriétaire et de le voir abandonner la partie. Biagio Carà ne cède pas au découragement, il finance une mise à jour du dossier. Le nouveau dossier est déposé à la DGO4.
DGO4 = Direction générale opérationnelle de l’Aménagement du territoire, du Logement, du Patrimoine et de l’Énergie
Au coeur des multiples tâches qui incombent à la Direction générale opérationnelle de l’Aménagement du territoire, du Logement, du Patrimoine et de l’Énergie, il y a la recherche d’une plus grande cohérence des diverses actions qui ont un impact sur le territoire. Il y a aussi la mise en œuvre de politiques sectorielles, tant dans leurs spécificités que dans cet objectif de cohérence globale.
«ARTICLE DE PRESSE FAISANT RÉFÉRENCE A UNE QUESTION INITIALEMENT POSÉE A LA CHAMBRE PAR LA COMPAGNE DU BOURGMESTRE, QUESTION BIZAREMENT ATTRIBUÉE ICI A PHILIPPE KNAEPEN »
«LE DÉPUTÉ PHILIPPE KNAEPEN DÉSINFORME ! COMME JE L’EXPLIQUE PLUS HAUT JE N’AI JAMAIS ENVISAGÉ NI ENTAMÉ LA CONSTRUCTION DE LOGEMENT… ET, DE NOUVEAU, SI RIEN N’A PU ENCORE ÊTRE FAIT SUR LE TERRAIN CE N’EST PAS FAUTE DE VOULOIR MAIS D’EN ÊTRE EMPECHÉ »
SUITE AU NOUVEAU R.I.E DÉPOSÉ IL Y A UN AN ET DEMI !»
Un an et demi après le dépôt du nouveau dossier R.I.E la DGO4 n’a toujours pas donné de réponse. Sans ce retour de l’administration, les travaux ne peuvent débuter… et comme les travaux ne débutent pas, le propriétaire est accusé de “laxisme”… Le propriétaire et l’ingénieur en charge du RIE décident de dénoncer une situation qu’il trouvent pour le moins “anormale”.